Il avait pris la place de Louis Bertignac il y a 2 ans et semble s’être très bien s’être intégré à l’équipe.
A quelques jours de la finale de The Voice, le chanteur s’est laissé aller à quelques révélations dans les colonnes du Nouvel Obs.
Il compare notamment l’émission à son équivalent aux Etats Unis : « Si on regarde les émissions du même calibre dans le monde, on s’aperçoit qu’il y a un script, un prompteur, et que les jurés doivent rester dans les clous. La chaîne teste et impose les chansons. A ‘The Voice’, nous sommes bien plus libres qu’aux Etats-Unis. Après, il y a un équilibre des titres et des décennies à trouver pour n’exclure personne. Si j’impose mes choix aux candidats, d’abord, ils se plaindront, ensuite, ils les chanteront mal. Je dois dénicher le morceau qu’ils cachent au fond d’eux ».
Si, selon lui, le jury est moins libre dans d’autres pays, il est également revenu sur un épisode marquant de l’émission où Zazie, Jenifer et lui-même étaient montés sur leurs fauteuils pour un candidat : « Quand nous avons escaladé nos fauteuils avec Jenifer et Zazie, il était 2 heures du matin et nous n’avions pas que du café dans nos verres. Ça se voit, non ? Nous nous sommes réveillés le lendemain matin en nous demandant : ‘Qu’est-ce qui s’est passé ?’ Nos producteurs, deux rottweilers charmants, veillent au grain. Mais le programme reste français, il laisse de la place à l’improvisation, ne se veut pas trop bien rodé. Je ne regarde jamais le show, je n’ai pas envie de me sentir mal, de me torturer, d’avoir à me mettre des gifles. »