Virginie Efira : la maternité, son rôle de belle-mère, son mariage, elle dit tout !

Elle a accordé une interview au magazine Biba, dont elle fait la couverture du mois de septembre.

 

 

 

 

Maman d’une petit Ali née en 2013, fruit de son union avec le réalisateur, scénariste et acteur Mabrouk El Mechri, Virginie Efira a livré à Biba une interview à cœur ouvert. Elle revient sur la maternité mais aussi sur son rôle de maman qu’elle évoque avec pudeur dans les médias.

 

 

 

 

Si l’ancienne animatrice est aujourd’hui une maman et une femme épanouie, c’est aussi grâce à la maternité, un sujet qu’elle évite d’aborder en interview : « La maternité, c'est même un bond de malade, sublime et vertigineux ! Mais bon, c'est assez banal et surtout vain de vouloir résumer ça ici, dans ce contexte. (...) J'adore parler de ça, c'est infiniment joyeux les enfants, la transmission, mais en interview, je ne me sens pas très à l'aise. Les lieux communs qui entourent la maternité m'ennuient. Evidemment que c'est devenu le sens premier de mon existence, mais est-ce bien nécessaire de le claironner ? C'est tellement inscrit en moi. »

 

 

 

 

C’était donc une évidence pour elle d’avoir des enfants : « J'ai toujours aimé les enfants. Dans ma vie amoureuse, j'ai souvent été avec des hommes qui avaient des enfants, et j'ai adoré cette place de belle-mère, elle crée un lien unique. Tu n'es pas la maman mais il y a un rapport privilégié qui se noue. Quant à la question de devenir mère moi-même, c'était ambivalent. Avant de tomber enceinte à 35 ans, d'une part je voyais le temps passer à côté, et, d'autre part, j'appréhendais la maternité, comme si c'était synonyme d'immobilité. Alors que non ! »
 

 

 

 

Elle évoque d’ailleurs les valeurs qu’elle veut inculquer à sa fille : « Je vais essayer de lui donner les moyens de s'éveiller, d'être curieuse, d'avoir accès à ce monde exaltant et plein d'amour (...) Et surtout, je veux lui transmettre l'importance de l'indépendance ».

 

 

Une indépendance dont son père lui a tant parlé. Elle se rappelle d’ailleurs du jour où elle lui a annoncé son mariage : « Mon père m'a toujours répété : ‘Ne dépends jamais d'un homme.’ Quand je me suis mariée, il y a une dizaine d'années, il a même eu cette réflexion : ‘Ce n'est pas pire qu'un cancer, mais quand même...’ Mon père, qui est très exigeant, m'a beaucoup dit, - ma mère aussi, mais en étant bien plus souple -, qu'il fallait d'abord compter sur soi-même pour que les choses arrivent »

 

 

 

 

Le 19 août, Virginie Efira sera à l’affiche du film Une famille à louer au côté de Benoît Poelvoorde ; un film très attendu !