Philippe Candeloro revient sur ses propos sexistes.

Et il ne démord pas.

L'ancien champion de patinage artistique est revenu sur les critiques qui ont découlé de ses commentaires lors des derniers Jeux Olympiques d'hiver de Sotchi, en 2014.

Il y évoquait "le joli postérieur" d'une patineuse et disait d'une autre : "Je connais plus d'un anaconda qui aimerait venir l'embêter un petit peu", suscitant de vives réactions.

Aujourd'hui, Philippe Candeloro déclare ne rien regretter et préfère se trouver des excuses : "Je ne suis pas journaliste, je ne suis que consultant. C'est la différence. Quand je suis invité dans une émission de télé, on vient me chercher pour évidemment dire tout ce que j'ai sur le coeur, dans la tête et ailleurs, pour que ça fasse du buzz".

Il affirme, par ailleurs, que ses propos n'auraient pas été perçues de la même façon dans d'autres circonstances : "Si j'étais bisexuel, il n'y aurait pas de mot pour me dire quand je commente le cul d'un patineur ou le cul d'une patineuse...Personne ne pourrait me traiter de quoi que ce soit, parceque ça n'existe pas !"

Puis, il conclut de façon ironique : "Je ne vais pas le dire, sinon tous mes copains de patinage artistique risquent aussi de me sauter dessus !"